viernes, mayo 2, 2025
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Présentation du livre “Vérités – De notre capacité de connaissance”

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Foto: La Cebra que Habla.

A partir des explications données par Einstein lui-même pour justifier sa théorie, le livre explique pourquoi ces deux postulats ne sont pas fondés.


 

Au sein d’une époque marquée par de nombreux doutes, tant en ce qui concerne les valeurs que la réalité elle-même, ce livre a pour but de donner confiance en notre capacité de connaissance, d’accès à de multiples opinions véridiques, c’est à dire à des représentations adéquates du monde dans lequel nous vivons.

À cette fin, le livre commence par rappeler que, chaque jour, chaque fois que nous interagissons dans le monde et avec les autres, nous utilisons notre capacité de connaissance véridique du monde :

« Comment pourrions-nous en effet réussir à attraper un objet sans connaître en vérité la position de cet objet ? Comment pourrions-nous serrer la main de quelqu’un sans que lui et nous sachions où se trouve la main de l’autre et comment s’en saisir ? Comment pourrions-nous poser une question […] et recevoir une réponse satisfaisante à notre question si nous n’avions pas une représentation véridique de la présence de l’autre, de notre capacité à communiquer avec lui, de notre capacité à user ensemble d’un langage qui puisse être suffisamment commun pour que nous puissions nous comprendre ?

Si nous n’étions pas capables d’un minimum de connaissance véridique du monde, nous ne le pourrions pas. »

Foto: Diego Val

 

Mais le livre ne se contente pas de rappeler l’évidence quotidienne de notre capacité de connaissances véridiques mais il répond également à deux objections très fréquemment présentées à l’encontre de cette capacité : l’idée que nos sens nous tromperaient et l’affirmation selon laquelle tout serait relatif.

En ce qui concerne la première de ces objections, le livre montre que la conception de sens trompeurs dérive d’un malentendu : s’il est vrai que nous devons réfléchir à nos perceptions afin de les interpréter correctement, cela ne signifie nullement que nos sens nous trompent.

D’abord et avant tout parce grand nombre de nos actes se fondent avec succès sur nos perceptions immédiates des choses. Mais aussi parce que, celles de nos perceptions qui requièrent d’être analysées (par exemple lorsqu’un bâton droit partiellement immergé dans l’eau nous apparaît courbé sous la surface de l’eau) ne signifient pas non plus que nos sens nous trompent mais seulement que toute perception d’un objet est liée, non seulement à cet objet (en l’occurrence le bâton) mais également au sujet (nous qui le percevons) et à l’environnement au sein duquel nous le percevons.

Foto: Diego Val

 

Or, précisément, dans l’exemple du bâton apparemment courbé sous la surface de l’eau, nos sens ne nous trompent pas puisqu’ils expriment à la fois cet objet mais également une propriété de l’environnement dans lequel se trouve le bâton (la réfraction de la lumière, c’est à dire le changement de direction des rayons lumineux lorsqu’ils passent de l’air dans l’eau).

De telle sorte que, loin d’être trompeurs, nos sens ne font en réalité que témoigner de ce qu’est l’objet que nous percevons et de l’environnement dans lequel nous le percevons. En d’autres termes, nos sens ne nous trompent pas car ils témoignent du monde et nous avons la capacité d’interpréter ce témoignage.

En ce qui concerne la seconde objection fréquemment opposée à notre capacité de connaissance véridique (l’idée selon laquelle tout serait relatif), le livre montre que cette objection dérive d’une confusion très fréquente: la confusion entre la relativité, réelle, de notre perception des choses et la relativité, non démontrée, des choses elles-mêmes.

En effet, bien que la perception des durées soit relative (5 minutes nous paraissent généralement plus longues lorsque nous attendons impatiemment quelque chose que lorsque nous profitons intensément de ce que nous sommes en train de faire), cela ne signifie nullement que les durées elles-mêmes soient relatives (à l’aide d’un chronomètre, nous pourrions vérifier très facilement que se sont écoulées très exactement 5 minutes dans chaque cas bien que notre état émotionnel nous ait conduit à percevoir ces durées d’une manière différente).

 

QUIZÁ TE INTERESE EN ESPAÑOL: Verdades – De nuestra capacidad de conocimiento

 

Foto: Diego Val

 

De cette manière, le livre démontre que les objections selon lesquelles nos sens nous tromperaient et tout serait relatif ne sont nullement fondées. Cependant, depuis environ un siècle, beaucoup considèrent qu’une théorie scientifique, la théorie de la relativité d’Einstein, aurait démontré que le temps et l’espace seraient relatifs. C’est pourquoi le livre analyse de manière très détaillée cette théorie qui se fonde essentiellement sur deux postulats : les durées et les distances seraient relatives ; la vitesse de la lumière dans le vide serait identique par rapport à n’importe quel référentiel, que ce référentiel soit immobile ou animé d’une vitesse quelconque.

A partir des explications données par Einstein lui-même3 pour justifier sa théorie, le livre explique pourquoi ces deux postulats ne sont pas fondés.

En ce qui concerne le premier (le temps et l’espace seraient relatifs), le livre montre que cette affirmation dérive directement de la confusion signalée plus haut entre la perception des durées et des longueurs d’une part et, d’autre part, les durées et les longueurs elles- mêmes : Einstein se fonde sur un exemple justifié de relativité de la perception du temps pour affirmer, sans aucune justification, que le temps et l’espace seraient eux-mêmes relatifs.

 

Foto: Diego Val

 

Quant au second postulat (la vitesse de la lumière serait identique par rapport à n’importe quel référentiel), le livre met en évidence que cette affirmation résulte de plusieurs conceptions erronées et propose une expérience cruciale qui permette de démontrer la fausseté de ce postulat et de la théorie de la relativité dans son ensemble.

Par suite, il apparaît clairement que la théorie de la relativité ne peut servir de fondement à une conception relativiste du monde. De telle sorte qu’en comprenant également qu’il n’est pas justifié d’affirmer que nos sens nous trompent et que, bien au contraire, les actes innombrables que nous réalisons quotidiennement manifestent notre capacité de vérité, nous comprenons alors que nous pouvons avoir confiance en cette capacité et l’utiliser pour interagir dans le monde et avec les êtres avec lesquels nous habitons ce monde.

Forasteros en el Chocó

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Foto: Diego Val.

 


Pasada la semana Santa les quedaba a los aficionados y a los forasteros diferentes inquietudes. Dudas que después de visitar las húmedas tierras del departamento del Chocó divagaban entre percepciones y consideraciones alrededor de las diversas dinámicas de la comunidad chocoana.


 

Especificamente en relación a su estilo de vida y por supuesto, la innegable violencia estatal que han sufrido dicha comunidad a través del tiempo.

 

Jueves santo (Triduo Pascual)

Los forasteros descargaron sus maletas tras un largo viaje que duró cerca de 3 horas desde la ciudad de Pereira hasta este municipio. Las flotas de autobuses más comunes son Occidental y Arauca llegando por tierra.  Un desdén para quienes tengan problemas lumbares, pues, la carretera solo está pavimentada, en su mayoría, por tramos con riesgo de caída de piedras e infinidad de letreros que dicen “terreno inestable”. El punto de llegada fue el barrrio Piedras, en Santa Cecilia, Pueblo Rico, en donde tradicionalmente la economía se basa en el comercio y ancestralmente en la minería. Este sector es básicamente un casco urbano con casas en ambos extremos de la carretera que conecta, en efecto, al corregimiento de Guarato, Tadó con Santa Cecilia.

Santa Cecilia es territorio chocoano, aunque los límites y los mapas digan otra cosa y sin importar que el río Guarato separe los departamentos de Risaralda y Chocó, allí se habla, se piensa y se respira la tradición de la comunidad negra. Ejemplo de esto es la abuela de la forastera, que habla a tambor, o por lo menos en esta explicación casi abstracta, diríamos que hablar a tambor es hablar a lo que suena el río; ese que está tras su casa, un río grande y caudaloso llamado San Juan, de grandes piedras y árboles frondosos por donde se filtra. Las aguas de este río corren del nororiente hacia el suroccidente, en dirección opuesta al Atrato  por el Chocó.

 

Foto: Diego Val.

 

Así mismo, desde el tambor suena el acervo cultural de una gran comunidad. Es una zona en donde confluye la población indígena y negra. Las relaciones con los Embera Chamií y Katío vislumbran un panorama de aciertos y desaciertos, pues, durante la toma de Santa Cecilia por el frente Aurelio Rodríguez en el año 2000 y los disparates del ejército y paramilitares, hizo que la población migrara, prioritariamente hacia el municipio de Pueblo Rico, en resignificación del territorio. Lo que para los forasteros respecta, como el proceso de reterritorialización, en las nuevas prácticas sociales, comerciales y agricultoras los fue acercando un poco más al centro del departamento de Risaralda. Un acierto, quizá, por estar cobijados por una rica geografía andina, pero un desacierto cuando de “choques” culturales hablamos.

Es un choque forzado e históricamente impuesto por las élites blancas de la colonia que usurparon las tierras, pues para el indígena, los hombres y mujeres negras, era el instrumento de dominación del hombre blanco; por lo mismo, después del 18 de febrero de 1728 tras la ejecución de 40 personas esclavizadas, la población negra en su mayoría migra formando pequeños palenques en Guarato, Jamarraya y Santa Rita.

 

Foto: Diego Val.

 

Queda entonces recorrer la pequeña cabecera municipal,  en dónde se ven jóvenes y niños en el parque haciendo diferentes actividades. Unos juegan con canicas intentando encestarlas en un pequeño orificio, otros con tapas, unos venden fruta, mientras otros cortejan a su compañera más admirada.

La noche llega con el tributo de la famosa eucaristía católica de jueves santo. La comunidad sube hasta el colegio Agroambiental Pío XII para bajar en procesión hasta la iglesia del pequeño caserío en el parque.

Más tarde, lo que se escucha es una lluvia torrencial.  El río San Juan ruge a pocos metros de la casa de la abuela. Uno de los forasteros temía que el río creciera exponencialmente, pero, aún así, la casa estaba lo suficientemente alta como para que esto ocurriera. Las imágenes alternas a esta casa revelaban un pequeño cementerio y la famosa morada de la bruja, ya caída y con aspecto de haber sido quemada. Se cree que su hijo camina ahora por las calles 19 y 20 en Pereira vendiendo dulces a los transeúntes.

 

Foto: Diego Val.

 

Viernes Santo (Crucifixión)

Los forasteros toman el bus a las 9:00 a.m rumbo a Quibdó, adentrándose a uno de los departamentos más lluviosos del país. Una vez más se deben enfrentar a la inestabilidad de las carreteras que, por tramos, exponen vestigios de accidentes pasados. Los municipios tienen diferentes nombres: Tadó, Ánimas, la Y, y en cada lugar, un puñado de gente caminando en procesión; reconstruyendo simbólicamente la crucifixión de un dios colonial a consideración de los forasteros, pero resignificado por la población en algunas ocasiones. Aquí se hace difícil determinar en términos morales, filosóficos, biológicos y/o políticos, las cuestiones por las cuales una población históricamente oprimida cree en un dios que ha significado en muchos momentos la opresión para los mismos.

Por otra parte, ante las constantes manifestaciones en contra de la vulneración de derechos de los habitantes de los diferentes municipios y corregimientos en el Chocó, específicamente de su capital Quibdó y que a su mayoría les cobijaría un supuesto periodo de pos-acuerdo en relación a reparación y restitución de tierras, no cabe más que pensar en la innegable violencia estatal  y las grandes heridas que ha dejado el abandono y desprestigio sistemático que históricamente ha permeado a la comunidad negra en Colombia y eso sí, es un hecho contundente.

 

Fotos de los forasteros en el Chocó

¡No se ha encontrado la galería!

 

 

En fin, siguen siendo muchas las percepciones que los forasteros tienen pero el camino es largo y Quibdó espera.

Después de un viaje de más de 5 horas, los forasteros entraron a la capital chocoana. Los carteles de publicidad política están por todos lados. Es curioso que uno de los forasteros se percatara del cartel fariano que estaba pegado en una de las tiendas comerciales. Es poco común, o casi nulo un cartel así dentro de las ciudades centrales  de Colombia: Cali, Pereira, Medellín, Bogotá.

El terminal es una media torta techada.  No está dotada de tecnología de punta como pantallas o artefactos complejos de seguridad. De hecho, para ese viernes, estaba completamente cerrado y el bus de los forasteros era el único en lo que se podría llamar una fila.

 

Foto: Diego Val.

 

Tomando un taxi, se atraviesa un largo tramo casi rural, sin carretera construida. Esto ya es un leitmotiv para todos. Siguen, sin falta, las vallas publicitarias y las infraestructuras inconclusas. Hasta la Universidad Tecnológica del Chocó tiene secciones en reconstrucción.

Así, en este viernes, pareciera que sí hubo crucifixión. Unos cuantos hombres pasaban azotando a otro a latigazos, mientras grafiteaban sobre las puertas cerradas de los locales comerciales la palabra “esclavos”.  Hecho que dejó un rastro atónito y frío sobre las calles y las miradas de unos cuantos curiosos desde sus ventanas.

 

Foto: Diego Val.

 

Sábado santo (Jesús en el sepulcro)

Por lo demás, hay algo que no es tan evidente y no por esto menos importante. Justamente los forasteros podrían llegar a pensar que los “símbolos patrios” de la comunidad se fundaron o fundan en otros hombros. Diversos bustos de Diego Luis Córdoba,  fundador del departamento; las esculturas de una barequera restaurada; de una mujer negra pescadora; de una familia negra liberando sus cadenas, hacen parte de la indumentaria. Son piezas de una historia política y una lucha muy diferente a la construida desde la historia blanco mestiza. ¿Mostrando las cualidades del trabajo en una mujer y además negra? Una plaza que podría ser el centro de un Bolívar, es el centro para un busto de un líder negro.

De esta manera, son líderes en el sepulcro que, a orillas del calmo río Atrato, que pasa por el malecón, observan a sus descendientes vivir. A pesar de la violencia, el racismo y la misoginia levantan cantos, tejen relaciones y construyen la vida de la resurrección.

 

Foto: Diego Val.

 

Especial mes de los niños: Un Quilombo de niños y niñas

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Quilombo ha sido para las comunidades negras de nuestro país vecino, Brasil, como el pueblo empoderado y renuente, que no escatima de raza ni género para construir otras formas de vida basadas en el sincretismo.


 

Para los quilomberos de el barrio Saturno en Frailes (Dosquebradas) significa lo mismo, pero esta vez, los actores empoderados son los niños. Son ellos quienes a través de sus vivencias ayudan a construir el territorio. Con ayuda del colectivo Quilombo, quienes llevan menos de un año en la ciudad de Pereira, han logrado consolidar algunas prácticas hacia el rescate de los valores identitarios de la población en la compleja geografía colombiana, siendo la población negra su punto de foco.

 

En este mes de los niños, La Cebra que Habla hace un homenaje a esos pequeños, quienes llevan en sus brazos el futuro de una sociedad más equitativa.

 

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Un recorrido histórico a través de las pinturas del museo Rayo

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Foto de Stefanny Rodríguez

En el Museo Rayo dos nuevas exposiciones nos llevaron a pasar una día entero en Roldanillo, Valle.


 

Foto de Stefanny Rodríguez
Foto de Stefanny Rodríguez

 

Con motivo a la reciente inauguración de las dos nuevas exposiciones en homenaje a los 90 años del nacimiento de Omar Rayo, La Cebra que Habla hizo una breve vista al Museo en Roldanillo, Valle, donde pudimos apreciar la colección del Museo del Tolima y una muestra del artista sudafricano William Kentridge.

Esta curaduría estuvo a cargo de Miguel González, pionero de la crítica artística en Colombia. Él ha sido curador de varios museos y galerías en la ciudad de Cali y del Valle del Cauca. Además de ser profesor de Bellas Artes, es un conocedor de las historias íntimas de los protagonistas del arte. Ha realizado múltiples curadurías: NC-Arte, en Bogotá, la exposición de Beatriz González, Débora Arango en el Museo Rayo. También preparó la exposición de Fototropísmo de Elías Heim, de plantas vivas en La Tertulia e inauguró la de video-instalación del ecuatoriano Tomás Ochoa. Pertenece a la junta de Programación y Adquisiciones del Banco de la República.

Hace parte de  Ciudad Solar, un espacio de convivencia, creación y exposición de gestión cultural en Cali, aunque más que un lugar físico, fue un punto de encuentro para toda una generación de artistas e intelectuales caleños. Una alternativa cultural no oficial, conformado por Carlos Mayolo, Luis Ospina, Edgar Negret, Andrés Caicedo, Hernando Guerrero, Pakiko, Pilar Villamizar entre muchas otras figuras del arte.

 

 

Miguel González se identifica por ser una persona muy estricta. No hay ninguna excusa para llegarme tarde a una clase, ni siquiera una trepanación de cráneo, decía. También lo identifican como una persona que vibra con lo artístico.  Sensible y un gran representante de la cultura del Valle y de Colombia.

 

Museo del Tolima

Esta nueva exposición reúne 34 obras de 30 artistas, cuenta con una amplia muestra de la colección tanto del siglo XIX a nivel nacional como del siglo XX a nivel internacional. Una visita allí es  un extenso recorrido histórico a través de lo pictórico.

La colección del Museo del Tolima fue fundada en 2003, su gran colección cuenta con el apoyo de tres fuentes valiosas: La Colección Departamental de Arte, La Colección de Ortíz-Salazar y La Colección de La Corporación MAT.

 

Foto de Stefanny Rodríguez

El Museo hizo una detallada selección en esta exposición, dividida en tres fases. La primera de ellas se compone de nueve artistas tolimenses: Julio Fajardo, Jorge Elías Triana, Mario Lafond, Antonio Machado, Fernando Davis, Carlos Granada, Edilberto Calderón, Arcadio González y Darío Ortiz.

La segunda nos dirige a un recorrido el arte colombiano del siglo XIX con artistas como Luis Alberto Acuña, Ignacio Gómez Jaramillo, José María Espinosa, Pantaleón Mendoza, Ricardo Moros, Francisco Antonio Cano, Jesús María Zamora, entre otras representativas figuras que ilustraron la metamorfosis de lo académico por la modernidad y en la que predomina el paisaje y el retrato.

Y la tercera fase, como cita fundamental de la historia del arte en Colombia, culmina con obras de artistas de mitad del siglo XX como Gillermo Wiedemann, Cecelia Porras, Emma Reyes, Manuel Hernández entre otros, donde predomina el simbolismo, la estilización y abstracción de los elementos.

 

Foto de Stefanny Rodríguez

 “La duda es el único estado mental confiable en un mundo profundamente incierto” William Kentdrige

 

Con el apoyo de la galería Alonso Garcés de Bogotá, el museo Rayo de Roldanillo exhibe una muestra del artista Africano William Kentridge.

Ya hace algún tiempo Miguel González tenía bastante interés por la obra de William Kentridge, artista sudafricano judío, de familia inmigrante, que fue testigo del horror del apartheid (sistema de segregación racial en Sudáfrica) y creció con la idea de la igualdad hacia al otro. A través del dibujo, de la gráfica y del video arte nos muestra el conflicto y un viaje a la oscuridad interior del ser.

 

Entrevista

 

Desconfiando de la especialización, William Kentridge siempre ha celebrado la contaminación estética que surge cuando las formas artísticas se entrecruzan y se retroalimentan donde aparece lo híbrido hay posibilidades

Este artísta, estudió política, e hizo estudios africanos y arte en la Universidad de Witwatersrand y la Johannesburg Art Foundation. Colaboró con la Junctiovenue Theatre, donde realizó sus primeras intervenciones como actor, director y escenógrafo.

 

Documental

Certain Doubts

 

En los años noventa, obtuvo el reconocimiento internacional de su obra como flujo de narrativas, que combina el dibujo con el cine, el collage, el grabado, la escultura y el video arte. Kentridge ha tenido como base de producción, animaciones manuales de dibujo, rodadas en 16 mm y sin apoyo digital.

 

Felix en el exilio 1994

 

Esta muestra incluye una gran selección de grabados estereoscópicos, que demuestran la destreza del dibujo y el concepto híbrido en la imagen y cuenta con varias piezas de animación que extrapola las historias de Sudáfrica. Sitúa el tiempo como una sustancia elástica, jugando con saltos maniacos, espacios cerrados, donde se construyen, deconstruyen y reconstruyen historias.

Muchas de esta piezas se pueden apreciar on-line

 

Mine 1991

Johannesburg 1989

Los tres tipos de mentiras aplicadas en la historia de la política colombiana

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La transparencia no ha sido una premisa en nuestra legado político, en tiempos de elecciones este pasado pesa en la incertidumbre.


 

Si bien, las mentiras, las malditas mentiras y las estadísticas son el decir de muchas personas en cuanto a los tres tipos de mentiras; es al Ministro Británico Benjamin Disraeli (1804 – 1881) a quien será necesario darle los agradecimientos por tan célebres palabras, pero a la vez por tan valiosa herramienta para los aspirantes a cargos de elección popular en Colombia durante su historia, cosa que no tiene ningún tipo de presentación en el hecho de que los tres tipos de mentiras sean el pan de cada día en la politiquería.

Para abordar con evidencias cada uno de los tres tipos de mentiras aplicados en la política colombiana, es posible partir del primer argumento que muestra ciertamente lo siguiente: en la actualidad hay un ser humano con actitudes y aptitudes propias de lo que es, una persona ocupando un cargo de elección popular que ha jurado, y hasta en algún momento decir que firmaría sobre mármol alguna declaración o cuestión de total trascendencia para el país.

Esta mentira fue claramente necesaria para que el actual Presidente el Doctor Juan Manuel Santos Calderón le ganara la respectiva contienda electoral al Doctor Antanas Mockus Sivckas en la segunda vuelta presidencial del año 2010.

 

Extraída de Wradio

 

Dado que en unos de los debates realizados previo a las elecciones, a ambos candidatos les hicieron la misma pregunta. ¿Si usted llega al Palacio de Nariño como Presidente de los colombianos sube los impuestos con una reforma tributaria? Claramente el Doctor Santos se vio en la precaria necesidad de afirmar que firmaría sobre mármol que los impuestos no subirían en su mandato, aun sabiendo que las políticas económicas del momento evidenciaban una inminente alza en los impuestos y por tal una reforma tributaria hoy existente. Ya no importa mucho la respuesta de Mockus en ese entonces pues también conocedor de las verdaderas necesidades económicas, no mintió y dijo: Si, habrá que subir los impuestos mediante una reforma. Así pues, utilizar las mentiras para tener adeptos no puede ser la carta de navegación en la política.

Por otra parte, otros mientras tanto, han utilizado las malditas mentiras (más fuertes aun) para alcanzar su objetivo. Narco política, un Presidente con un mandato salpicado por las relaciones con el Narcotráfico, una presidencia minada de malditas mentiras. Nada contra el Doctor Ernesto Samper Pizano, pero para este ejercicio que mejor muestra de malditas mentiras aplicadas en la política que un gobierno con manos criminales en su estructura.

 

 

Extraída de la LA-FM

 

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Finalmente, el momento de las estadísticas, el tercer tipo de mentiras.

Las encuestas las lidera el candidato que realice la toma, es decir, según ellos y sus estadísticas, todos llegaran al Palacio de Nariño. No siendo suficiente con esto, la reciente encuesta realizada por un poderoso canal de televisión colombiana arroja varios interrogantes, que hacen que las estadísticas basadas en las encuestas sean un arma para quien las realice o en este caso para quien tenga intereses de por medio.

En una semana, el Doctor Iván Duque duplicó sus puntos porcentuales de intención de voto en el país, el voto en blanco supera en porcentaje de intención al Doctor Sergio Fajardo, y por si fuera poco, la sumatoria total de intención de voto por todos los candidatos y el voto en blanco suma 101%.

Así pues, las mentiras, las malditas mentiras y las estadísticas han atiborrado la política colombiana en toda su historia. De tal forma que lo mejor es votar a conciencia, no vender su voto y esperar que los señores candidatos ¡no nos mienta más!

 

Extraída de El Heraldo

Entre alcachofas y jamones

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Esto me sirvieron de primer plato, y no es broma


 

Ya me huelo que este Viernes Santo me la pasaré sobriamente por no decir hambriento. De entrada, el postre tradicional de estas fechas no invita al optimismo: ¡arroz con leche!, que quizás guste a los niños y a los viejos. Yo que estoy al medio, no le hallo el gusto por ningún lado. Y si lo adornan con pasas de uva es doblemente aterrador, añadir dulce a un potaje dulce no debería tener perdón. ¡Pero qué le vamos a hacer, así había sido la tradición!

Todavía recuerdo con pavor el primer día que me sirvieron esa dichosa ¿flor? ¿fruto? ¿bola de hojas? llamada alcachofa. En la familia de mi amigo con raíces árabes me enseñaron a comerla con aceite de oliva, ¡lámina por lámina, uf, qué ejercicio más agotador! En la casa de mis tíos se la sirve como primer plato, así sin más, untando cada hojita en salsa golf. Sucede tan a menudo que supongo que la consideran un manjar. Cuando les caigo por allí tengo que hacer de tripas corazón para sumarme al “festín” sin rechistar; eso sí, murmurando entre los dientes y con ganas de decirle a la cocinera: primero me como mi segundo.

 

Extraída de Webdelgastronauta

 

¿Se han dado cuenta de que es el único alimento que deja más residuos que otra cosa? Cuando te la sirven así enterita, uno se imagina que aquello debe saber a dioses. Pero no, resulta que todo es una bolacha dura y desabrida, que hay que ir deshojando para apenas comerse la puntita y a lo sumo el corazón, que aunque tierno es más soso que una hostia. Ni de lejos puede compararse a unos corazones de palmito, por ejemplo. Ni hablar de la montañita de desperdicio que queda en el plato que haría temblar a cualquier ecologista que se respete.

El día que tenga hijos, prometo castigar su desobediencia mandándolos a un rincón a devorarse su alcachofa, hoja por hoja, pero sin aliños ni salsitas. No vaya a ser que al final los jabatos le pillen gusto al asunto.

 

Extraída de Webdelgastronauta

 

Hablando de jabatos, todavía recuerdo con vívida nostalgia esa noche de enero en que mi prima Patty me invitó a degustar una paleta de sabores gourmet y otras delicadezas que se trajo de Europa, combinándola espectacularmente con productos locales que tenían también su alcurnia. Aquella mesa valía una pequeña fortuna pues había una exquisita colección de quesos maduros,  speck (jamón alemán), prosciutto, y un rarísimo jamón del que se me aseguró que era de auténtico jabalí, que sabía un tanto áspero al paladar pero ese ahumado que tenía resultaba endiabladamente suculento.

Porque el tiempo apremiaba no alcancé a saborear el foie gras, ni las finísimas mermeladas de factura italiana que venían en potes minúsculos. Como soy enemigo declarado de lo dulzón, tampoco se me antojaba hacerlo. Con todo, tiempo hubo para regodearme con rodajitas de chorizo curado de variadas texturas hasta picantes, mis favoritos. Concluí la faena probando todos los quesos que ya los había devorado previamente con la mirada. Así me fue de bien esa noche única, rematada con el más excelso vino nacional, astutamente denominado Único,  para terminar de cerrar la ecuación. Aquello fue lo más alto que he subido en materia de degustación. Desde entonces todo ha sido cuesta abajo. Dan ganas de llorar por esos instantes perdidos.

 

Extraída de Webdelgastronauta
Esto tampoco es broma, pero apenas duró una exhalación

Menos mal que existe la metafísica popular para superar el mal trago, ¿dije mal trago?… perdón, quise decir mal rato.

Editorial / La bala que pretende atajar al lápiz

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Editorial en conjunto de los portales de periodismo digital la Cebra que Habla y La Cola de Rata.


 

En Colombia hay suficiente evidencia para temer que de las palabras se pase fácilmente a los hechos.

Una amenaza de muerte es una situación atemorizante por el potencial de convertirse fácilmente en realidad.  Este es un país donde hay sectores intolerantes en el que han caído muchos de sus ciudadanos: líderes sociales, jueces, activistas políticos, periodistas, sacerdotes y hasta futbolistas.

Entender las posiciones o situaciones que involucran al Otro distinto de nosotros muchas veces solo se concibe como la eliminación total de sus opiniones o acciones, lo cual conlleva a atentar contra la vida de los sujetos que han expresado y actuado de manera diferente a las convicciones de quienes finalmente terminan agrediéndolos.

En esta álgida contienda electoral, Colombia se juega su rumbo a través de la escogencia de visiones diferentes de nuestra identidad como nación.  Estamos presenciando un combate por el poder político, entre posturas antagónicas y radicalizadas de derecha e izquierda. Mientras tanto, el país que apenas ha despertado a la paz, pareciera oscilar entre uno y otro extremo, dubitativo e incrédulo.

Pero la paz, a pesar de las dudas, es un hecho por lo menos si se le toma como un principio de solución a la violencia que hemos padecido en las últimas décadas. Muchos quieren consolidar este camino que, aunque marcado por la falta de justicia y tropiezos, consideran la vía para salir de nuestro atraso.  Otros, por el contrario, parecen clamar desde sus tribunas de uno y otro bando porque continúe la eterna pugna, se perpetúe la disputa y por mantener en el centro de las preocupaciones nacionales el constante odio hacia el Otro diferente: al líder social, al empresario capitalista, al de clase social popular o más alta, a las mujeres, a los homosexuales, a los que se movilizan en un medio de transporte distinto, a quienes profesan una fe diferente o no tienen ninguna.

El problema para nuestra sociedad es que quienes pretenden perpetuar el odio, el miedo y apuestan por mantener vivas las banderas de la guerra son más convencidos y actuantes, menos dubitativos, están más adoctrinados para seguir sin ningún tipo de cuestionamiento las consignas que, desde micrófonos y redes sociales, les lanzan sus líderes.

Particularmente en el mundo tecnológico en el que estamos viviendo, las redes sociales se han convertido en un campo de batalla, en el cual se vierte sin control toda la violencia que envenena a nuestra sociedad.  Estigmatizar, difamar, violentar, insultar, retar, amenazar, son algunas de las acciones cotidianas en esta nueva forma de “comunicación masiva” en la que quedamos instalados los humanos en el siglo XXI. Sin filtros para discernir entre opinión e información.

En medio de este panorama, turbulento y por momentos desesperanzador, se alzan las voces de intelectuales, líderes de opinión o periodistas y, sobre todo, de aquellos que apelan al humor como medio  para el cuestionamiento y el debate.

Entonces, la bala se cierne sobre el lápiz del caricaturista, en este caso Julio César González, “Matador”, para hacerle saber que hasta el humor está prohibido cuando la política se concibe como un dogma.

Las amenazas de muerte que ha recibido “Matador” son una muestra palpable de cómo los seguidores de una ideología consideran sagrados los postulados, convirtiéndose así en una secta, y de la forma cómo perciben a sus líderes. Para ellos, quienes los guían son mesías, investidos de la infalibilidad de quien posee verdades absolutas, las mismas que solo pueden ser reveladas a los fieles que los siguen sin permitirse ninguna reflexión crítica.

Muchos individuos actúan como si este fuese un país completamente tribal donde los derechos civiles están consignados solo en el papel, y el derecho a la vida es respetado solo en los estrechos límites de la tribu a la que cada uno pertenece.  Por fuera de ella, el Otro es considerado un enemigo, que puede y debe ser eliminado.

Nos quieren usurpar el derecho a pensar y sentir distinto. Ahora parecen querer arrebatarnos el derecho a la risa que es fruto de la inteligencia, como único alivio para una sociedad intoxicada por el odio.

Ante situaciones como esta, que atentan contra la libertad de opinión y la libertad de prensa, solo cabe decir un contundente no a los fanatismos y a la falta de tolerancia con quienes piensan distinto. De esta barbarie Colombia ha tenido suficiente y ya es hora de un contundente ¡Basta ya!

El camino de la venganza: Matar a Jesús

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Porque Matar a Jesús nos muestra ese panorama sombrío e infértil de la desolación. De la misma que acude o nos invade por el malestar de un crimen del pariente más cercano, y nos toca, o nos queda un enorme desierto existencial.


 

Ficha Técnica

Año, país, duración 2018, Colombia, 95 minutos
Director Laura Mora Ortega
Guion Alonso Torres, Laura Mora Ortega
Fotografía James L. Brown
Música Sebastián Scofet
Actores Natasha Jaramillo, Giovanni Rodríguez, Camilo Escobar, Carmenza Cossio, Juan Pablo Trujillo, José David Medina, Juan Camilo Cárdenas.
Productor  Diego F. Ramírez
Productora &4 A Films, Az Films
Género Drama- Violencia

 

Extraída de: Epimg.

 

El cine colombiano ofrece cada vez más un recorridos por las historias que nos definen. Matar a Jesús es una forma de condenarnos al dolor e intentar exorcizarlo. Es un vericueto moral sobre la perdida del otro, del padre, de quién amamos y le profesamos nuestras energías, para luego saberlo asesinado, presenciar su ida, no saber las razones de su muerte y sin embargo, intentar doblegar el vacío. Vi esta trama como si fuera un exiliado en mi propio ser. Es decir, como si estuviera viviendo en una isla donde no hay más horizonte que el extenso e infinito mar de desvaríos, angustias; como si lo que flotara fuera una serie de pesares, de puestas en dudas, de paréntesis, de nostalgias, como si yo mismo quisiera matar a Jesús, o estuviera en el borde de las encrucijadas.

Porque Matar a Jesús nos muestra ese panorama sombrío e infértil de la desolación. De la misma que acude o nos invade por el malestar de un crimen del pariente más cercano, y nos toca, o nos queda un enorme desierto existencial. El resultado, luego es una especie de espejo, de montaña rusa, porque se da el encuentro entre lo que podríamos enunciar como víctima y luego como victimario. Ambos en el mismo desierto, los dos en las mismas penumbras, esos mismos enfrentados en sus propias agonías, esa pareja en su propia resequedad: silencios, desenfrenos, posterior, la calma, lo sombrío.

 

En Matar a Jesús se nos cuenta la historia de Paula (interpretada por la actriz natural Natasha Jaramillo), una joven de 22 años estudiante de fotografía, quien es testigo presencial del asesinato de su padre, un docente universitario. Extraída de: Rollingstone.

 

Si el cine es un espejo por donde nos asomamos, Matar a Jesús nos devuelve una imagen del abismo, donde debemos cavar para encontrar su fondo. Se trata entonces del frío asesinato de un padre, de un profesor, y de una familia que queda a la intemperie. Su hija, es la testigo directa de ese momento culmen de no retorno, y su vida gravita en medio de circunstancias del azar, que la conduce hacia el propio verdugo. Ese encuentro, es la muestra más bella pero también insidiosa, crujiente en sentidos, y a veces hasta inverosímil por ponernos como en el filo de un cuchillo. Un paralelismo, una huida en la propia llaga.

Lo que ha hecho Laura Mora Ortega, su directora, es ponernos en la intersección justa para volvernos más asesinos o comprender un poco, como si fuera una gota del rocío, ese objeto de lo que implica vengarse, de quizás la estocada moral con la cual acercarnos a un tema tan lleno de incógnitas como el de querer cobrar justicia por las propias manos. El contexto de una ciudad como Medellín, pero que pudo ser cualquiera de Colombia, le ofrece unos toques de conexión con la cruda realidad de los sicarios, de esos universos recreados y contados por el padre del cine de actores naturales: Víctor Gaviria. Allí en el fondo, vuelven las imágenes de Rodrigo D No futuro, se establecen de nuevo las partituras de Yo te tumbo tu me tumbas, asisten los escenarios de La vendedora de rosas: esos barrios laberínticos, por donde, se mezcla la extrema pobreza con la ferocidad de quienes deciden el camino de la danza de violencia.

 

La antioqueña Laura Mora (co-directora de la serie de televisión Escobar: El Patrón del Mal y del largometraje Después del Fuego), nos presenta Matar a Jesús, una cinta de suspenso acerca de la particular relación que se produce entre una joven y el asesino de su padre. Extraída de: Cromos.

 

Ver un cine como el de Matar a Jesús, es recordar que ya se han hecho películas con un sentido de la perdida: La Sirga de William Vega (2012), Heridas de Roberto Flórez (2006), Retratos de un mar de mentiras de Carlos Gaviria (2010)…  se anuncia como un calmante para los dolores y estragos de tanta violencia. No veo en el cine una extensión o traslado de esas situaciones trágicas, sino un tratamiento único y hasta con matices psicológicos. No nos ayudan a salir del vejamen de la injusticia, ni nos dan las pistas con qué enfrentarnos luego de una sequía de emociones o de haber masacrado la esperanza. Pero sí, nos dan una imagen de intercambio, de forcejeos, de retorcijones, de sacudidas sobre los efectos de querer hacer venganza.

Me pareció estar viendo Old Boy, y a ese duro director Chan Wook Park, quien filmó una tetralogía sobre la venganza, lo que ocurre es que en esas películas se activan unos códigos culturales muy diferentes a los nuestros, y cuando digo nuestros, ni siquiera sé, cómo hemos hecho nosotros para enfrentarnos a esos entramados y desbordantes hechos de asumir el dolor y la perdida por otros que decidieron y siguen decidiendo la vida ¿tenemos códigos para la barbarie?, ¿existe un modo de enfrentar el horror colombiano?

 

Estos son los premios nacionales que ha ganado la película: PREMIOS NACIONALES – Premio del Público EGEDA, Competencia Oficial Cine Colombiano, 58 Festival Internacional de Cine de Cartagena de Indias -FICCI-, 2018. Extraída de: Proimagenescolombia

 

El cine colombiano transita por historias muy esenciales y sus directores, como Laura, han encontrado formas para comunicar muy contundentes. Lo que me apabulla en esta trama, es la sutileza para manejar un drama tan complejo; todavía, luego de haber salido de ese recinto oscuro, mis ideas no logran ubicar un sitio, y eso, puede ser una de las situaciones apremiantes, cuando nos enfrentamos a las pérdidas: incertidumbres y desazón. Aunque, siento la pesadumbre de esa joven, inquieta, rebelde, con su corta y emotiva edad, a quien le cercenaron el horizonte, luego está el traqueteo de esa moto, donde el verdugo se moviliza siendo el vehículo, de otros que lo han usado como una máquina de guerra.

 

Un café tardío

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Lo cierto es que la mayoría del grupo no está decidido, no sabe por quién votar, no creen en la política, o incluso nunca ha votado.


 

Estuvimos en Bogotá en el Festival Iberoamericano de Teatro. Siempre es un placer acudir a este evento que cumplió este año 30 de existencia en su decimosexta versión.

Pues bien, de un lado a otro en Bogotá, mi hijo menor que sigue muy inquieto con los temas de la política, continuó con su encuesta sobre las votaciones a Senado y Cámara, ahora aumentada con otros temas que están en la mente de todos los colombianos por estos días.

Traigo a colación estas anécdotas porque me llaman mucho la atención las respuestas entregadas por personas de todo tipo: porteros, taxistas, personal del aseo, meseros, etc.  Como en ocasiones anteriores mis intervenciones fueron casi nulas, apenas para explicar el sentido de estas preguntas provenientes de un niño de nueve años, y aclarar que no éramos de ningún partido político.

 

Extraída de: Ain Noticias.

 

A preguntas como: “A usted le gusta Peñalosa?, y ¿Petro?”; las respuestas en algunos casos fueron unánimes. Por ejemplo, uno de los más desfavorecidos fue el Alcalde Peñalosa que no le gustaba en lo más mínimo a ninguno de los interrogados. El ex alcalde Petro, ahora candidato presidencial, tampoco salió muy bien librado. Caso similar el de Germán Vargas Lleras, que parece no gustarle a la población que componía esta pequeña muestra.

A la pregunta:¿A usted le gusta Uribe?”, los consultados respondían mayoritariamente de manera afirmativa, con contadas excepciones.

Varios de los consultados van a votar por Duque. A algunos pocos les gusta Fajardo, y casi ninguno tenía en su mente a Humberto de la Calle.

 

Extraída de: El Olfato.

 

Lo cierto es que la mayoría del grupo no está decidido, no sabe por quién votar, no creen en la política, o incluso nunca ha votado.

Ese grueso porcentaje de indecisos, presente en nuestro escaso sondeo, me lleva a reflexionar sobre el margen que existe aún para una candidatura que no esté atrincherada en sus respectivas audiencias de izquierda o de derecha.

Tanto Sergio Fajardo como Humberto de La Calle habrían podido apropiarse de esta franja de centro.  La dificultad ha consistido, sobre todo en el caso de Fajardo, en sentar posiciones claras. El centro es un espacio político como la izquierda o la derecha, más difícil de definir pero que necesita ser claramente establecido para ser apropiado y lograr seducir a quienes no comulgan con los extremos.

 

Extraído de: Revista Dinero.

 

 

A estas alturas, el café que se tomaron Fajardo y De La Calle parece frío, tardío. Y como dijo Daniel Coronell en su más reciente columna de la Revista Semana, la consulta al Consejo Nacional Electoral sobre si es posible para ellos hacer una alianza (a escasos dos meses de la primera vuelta), será la estocada final que acabará con la posibilidad de una candidatura de centro.

El país se pierde así la oportunidad de elegir un guía moderado, de talante conciliador, y quedará seguramente instalado en la senda de la discordia, la polarización y el revanchismo, de alguno de los dos extremos que finalmente se haga con el triunfo en estas elecciones presidenciales.  Es triste, pero hoy parece una realidad inevitable.

Delete Facebook

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Como bien sabrán muchas personas, Facebook quizá sea la red social más poderosa en este momento por su gran alcance. No obstante no es la única y por supuesto hay muchas otras redes sociales con políticas de uso de datos más estrictas


 

El escándalo de Cambridge en torno a la red social más grande y poderosa actualmente, ha dado origen a un movimiento de activismo digital nombrado con el hashtag #deletefacebook. Este movimiento que pretende generar un boicot en la red social nace debido a que en días pasados el New York Times revelara que en medio de una operación poco ética, uno de los CEO de la compañía habría filtrado los datos de aproximadamente 50 millones de perfiles a un particular con intereses políticos por una suma cercana a los 15 millones de dólares.

Tras conocerse esto, la indignación general de la mayoría se hizo ver en otras redes sociales tales como Twitter. Medio a través del cual muchos empezaron a mostrar su descontento por el papel de vigía que llevaba esta red social y el manejo de dudosa moral que estaban dando sus dirigentes a la información privilegiada a la que tenían acceso. Y es así como cientos de tuits más tarde y decenas de imágenes de indignación, el hashtag #deletefacebook se convierte en tendencia y da inicio de una oleada, en territorio americano, de millones de usuarios que deciden abandonar la red social de Mark Zuckerberg.

 

Mark Elliot Zuckerberg (White Plains, Estados Unidos, 14 de mayo de 1984) es un programador, filántropo y empresario estadounidense conocido por ser el creador de Facebook. Extraída de: Tendencias.Tech.

 

Esto trajo consigo un efecto dominó y el movimiento boicot a Facebook o #deletefacebook ha tomado fuerza a nivel mundial, sumando a cada minuto a millones de personas e incluso a algunas empresas y figuras publicas como Elon Musk, que intranquilo por el manejo que se está dando por terceros a su información personal, ha tomado la decisión de eliminar su cuenta de manera total de la red social.

 

¿qué alternativas tengo si deseo seguir teniendo un perfil en una red social diferente a Facebook?

 

Como bien sabrán muchas personas, Facebook quizá sea la red social más poderosa en este momento por su gran alcance. No obstante no es la única y por supuesto hay muchas otras redes sociales con políticas de uso de datos más estrictas las cuales brindan algo de tranquilidad a sus usuarios. Así que hagamos un repaso sobre algunas de las redes sociales que en calidad, o alcance, se convierten en una buena opción para mudar nuestros perfiles sociales digitales, porque aunque nunca lo hayamos pensado existe una vida más allá de Facebook y Twitter.

 

Ello

Una red social que se presenta a sí misma como la alternativa a Facebook. Si bien, por el diseño de su interfaz, recuerda más a Tumblr. Ello no guarda los datos de sus usuarios, tales como la IP (Internet Protocol), permite crear perfiles falsos y no incluye publicidad.

 

Extraída de: Marketing Actual

 

Snapchat

Es esta una aplicación para enviar imágenes y vídeos con texto, cuya duración es elegida por los usuarios antes de que el mensaje se auto-destruya. Este proyecto llegó a recibir una oferta de compra del propio Mark Zuckerberg, fundador de Facebook, por ¡3.000 millones de dólares! Snapchat evita que las fotografías íntimas puedan escapar al control del usuario, e incluso impide (o al menos dificulta) que se puedan realizar capturas de pantalla, puesto que si el receptor del mensaje levanta el dedo de su dispositivo, la imagen desaparece.

 

 

Extraído de: Social Share

 

 

Confide

Si muchas de las redes sociales confidenciales se proponen como alternativas a Facebook, Confide se presenta como sustituta mejorada de Snapchat. Como aquella, se trata de un chat con mensajes efímeros. Los mensajes pueden leerse sin límite de tiempo y después desaparecen; las líneas de texto permanecen ocultas hasta que se pasa el dedo por encima de una de ellas y se desvela, de forma independiente al resto (es imposible hacer una captura de pantalla del mensaje completo); usa mensajes encriptados para asegurar que las comunicaciones no sean interceptadas por terceros; etc. El único problema radica en que a diferencia de Snapchat, no es posible enviar imágenes.

 

 

 

 

 

Diáspora

Su interfaz es muy parecida a la de Facebook, y se organiza en torno a etiquetas similares a los hashtags, con lo cual, es muy intuitiva para usuarios habituales de las redes sociales mayoritarias. Diáspora es una red social realmente descentralizada (es decir, cuya información no pasa por los servidores de una empresa). De hecho, está pensada para que los usuarios la instalen en servidores de su elección, o pods, donde también pueden ser utilizados por otros usuarios, sin que los datos sean guardados ni pertenezcan a nadie. La idea es mantener bajo control la información y los derechos de los contenidos compartidos en ella. Además, cuando se borra algo en Diáspora, no queda alojado en el servidor, sino que desaparece realmente.

El mayor garante de la privacidad en Diáspora, es su ausencia de modelo de negocio. No hay publicidad, ni ánimo de lucro, ni control alguno. Es una red social libre y de código abierto.

 

Extraída de: El Otro Lado.

 

 

Secret

Una app disponible para iOS y Android, cuyo principal atractivo es el del anonimato. Se trata de una red social donde se pueden compartir confesiones, rumores y cotilleos entre amigos y contactos, desde el anonimato más absoluto. No obstante, la privacidad se conserva frente al resto de usuarios, pero no se trata de una red descentralizada, como en el caso de Diáspora. De hecho, tras su descarga, para registrarte, tendrás que ingresar tu número de teléfono y tu correo electrónico.

 

 

Extraída de: Tu Experto App.

 

 

Whisper

Whisper cuenta con 100 moderadores que vigilan los mensajes de sus usuarios. Whisper ofrece la posibilidad de confesarse, protestar y compartir emociones y anhelos secretos con millones de usuarios, de forma anónima. Basta con redactar el mensaje, elegir un fondo personalizado y acompañarlo con una imagen. La propia aplicación genera etiquetas que clasifican los mensajes en relación a palabras presentes en sus contenidos.

 

Extraída de: Static

 

 

Conspire

La alternativa a LinkedIn para hacer networking y conocer a personas que podrían presentarte a tu futuro socio, jefe o cliente. Conspire funciona analizando los datos de tu correo Gmail, y cruzándolos con la información en la Web.

 

Extraída de: Marcribo.

 

 

N-1

Se popularizó como la herramienta de organización del movimiento 15-M. Se considera una red social libre, descentralizada y autogestionada. Su interfaz parece un tanto desfasada, pero a sus usuarios no les importa tanto el diseño, como la posibilidad de gestionar movimientos sociales, organizar manifestaciones, etc., sin levantar las sospechas de las autoridades.

 

Extraída de: Hiper Textual.

 

 

Twitter

La red permite enviar mensajes de texto plano de corta longitud, con un máximo de 280 caracteres (originalmente 140), llamados tuits o tweets, que se muestran en la página principal del usuario. Los usuarios pueden suscribirse a los tweets de otros usuarios  – a esto se le llama “seguir” y a los usuarios abonados se les llama seguidores. Por defecto, los mensajes son públicos, pudiendo difundirse privadamente mostrándolos únicamente a unos seguidores determinados. Los usuarios pueden twitear desde la web del servicio, con aplicaciones oficiales externas (como para teléfonos inteligentes), o mediante el Servicio de mensajes cortos (SMS) disponible en ciertos países.

 

Extraída de: El Grupo Informático.

 

 

Vero

Finalmente llegamos a mi favorita de estas 10 y a la cual personalmente he decidido mudarme ya que he quedado perdidamente enamorado de su interfaz desde el primer momento.

Aunque nació en 2015, es ahora cuando esta red social empieza a ganar popularidad gracias al declive de las principales como Facebook o Twitter, y a la quietud que experimentan otras como Snapchat.

Dotada de una interfaz elegante y atractiva, Vero intenta aprender de los errores del resto de redes sociales para ofrecerle al usuario una experiencia alejada del bombardeo publicitario y el acceso limitado a contenidos según hayan pagado o no por mostrarse.

 

Extraída de: Revista GQ

 

De esta forma, Vero tiene mucho de Instagram en cuanto al aspecto y mucho de Facebook en lo que era su esencia. La interfaz hace que sea muy fácil compartir reseñas de películas, libros o música, y facilita la segmentación de las publicaciones entre usuarios, evitando el ruido actual en algunas redes, que viene marcado por la cantidad de dinero que inviertan en promocionarlas, además de facilitar al usuario la opción de decidir si lo quiere compartir con ‘amigos íntimos’, ‘amigos’, simples ‘conocidos’, seguidores o de forma privada.

Vero trata de trasladar de manera sencilla la forma de relacionarse del usuario en la vida real, de forma que pueda tener distintos ámbitos de comunicación en función de los destinatarios de esos mensajes. Así, puedes compartir con tus amigos íntimos noticias u opiniones que no verán el resto, o con su seguidores aspectos más comerciales de ti o tu actividad. Así se evita además un “ruido” innecesario entre los usuarios, ya que aparta a corporaciones y medios del timeline.

“El feed” se compone de tus publicaciones y las publicaciones de las personas con las que estás conectado o las personas a las que sigues. No lo protegemos, manipulamos, insertamos publicidad ni retenemos publicaciones. Verá lo que se compartió y cuándo se compartió. No tendrá que pagar para ‘aumentar su publicación’ o ‘llegar a su audiencia'”, declara la compañía

 

Extraída de: Elearningmasters.

 

¿Una red social sin publicidad?

¿Estás harto de que te salgan anuncios en los vídeos, en las noticias, en el Messenger, en el Timeline, que te sugieran cosas que no quieres o te avasallen con publicidad comercial? Vero cambia el modelo de negocio con base a la experiencia negativa de muchos usuarios, hartos del acoso publicitario en sus redes sociales.

De esta forma, Vero prescinde de la publicidad para girar hacia un modelo de negocio basado en la suscripción anual y un ‘revenue share’ (se llevan un porcentaje) de las compras que realizadas a través de la app, ya que los usuarios podrán comparar música, libros, películas, ropa… accediendo directamente al perfil de las marcas y lo creadores de contenidos.

 

Extraída de: Wepa.

 

¿No quieres pagar cuota de suscripción anual?

¡Pues date prisa en crear tu cuenta! Porque Vero no tendrá cuota de suscripción anual para el primer millón de usuarios que se registre en la app, aunque después sí será necesario para poder estar en ella.

“Nuestro modelo de suscripción nos permitirá mantener Vero libre de publicidad, y centrarnos únicamente en ofrecer la mejor experiencia social en lugar de tratar de encontrar nuevas formas de monetizar el comportamiento de los usuarios. (…) Nuestro servicio basado en la suscripción hace que nuestros usuarios son nuestros clientes, no el producto que vendemos a los anunciantes”, detalla la empresa.

La aplicacion se encuentra disponible tanto para android como ios y si bien aun esta en su fase beta, es una plataforma con un gran futuro por delante.